Catégories : REEL FESSESTIVITES Femmes soumises SM camisole
il y a 8 ans
C’est le moment… Depuis quelque temps, je ressens de plus en plus profondément le besoin de me soumettre. Il devient si impérieux que le simple fait d’y penser me plonge dans un état second.
J’ai terriblement envie de me donner, de me livrer à lui, à son plaisir. Voir ce sourire un brin sadique annonciateur des douleurs et plaisirs à venir.
J’aimerai humblement lui faire une demande. J’ai longuement hésité sur la façon dont je devais m’y prendre et voilà, j’ai décidé de me lancer et de prendre un risque.
Il y a quelque mois, TSM m’a fait découvrir une autre dimension sous le fouet, une séance bien plus SM que les autres, de la douleur à l’état pur. Au point qu’elle m’a mise à genoux...au sens propre comme au figuré.. Paradoxalement se fût bon. Ce jour-là j’ai découvert un nouveau type de subspace, je ne sentais plus ses coups, j’étais bien, calme, apaisée.
Après cette séance et malgré l’atteinte de cette jouissance mentale, je n’aurai jamais pensé recommencer. Je fuyais l’instrument de ma douleur comme la peste et pourtant..
Il m’avait prévenu, malgré l’intensité de l’expérience et de la douleur, il y aurait une prochaine fois et j’en serai à l’origine.
C’est le moment..J’inspire à fond, j’ai une quinzaine de minutes avant son retour.
Me voilà à nouveau face à lui, il est là..devant moi, ce long fouet noir au manche de métal, ses deux langues de vipères en cuir me susurrant déjà leurs promesses de marquer profondément ma chair. Je frissonne à ce souvenir..
Hésitante je promène ma main sur son cuir, comme pour lui demander l’autorisation de lui faire quitter son socle. Je l’enroule précautionneusement, tout en rassemblant le reste du matériel : menottes, quelques cordes au besoin.
Je suis prête. Je me déshabille et prends place au milieu du salon en position 11, à genoux, face au sol les bras allongés. Le fouet et le petit mot, présentés en offrande sur mes mains tendues. Je ne suis pas très douée à l’oral, j’ai donc préféré lui écrire ces quelques mots : « Monsieur, j’aimerai vous offrir ma douleur.».
Il ne reste plus qu’à attendre son retour.
Je suis anxieuse, va-t-il apprécier l’initiative ? Au fur et à mesure que le temps s’écoule mon stress augmente et s’il n’appréciait pas ? Ne suis-je pas en train de faire une erreur ? Suis-je vraiment à nouveau prête pour une telle séance ? Les questions se bousculent, je tente de me calmer, je me concentre sur ma respiration et puis je pense à lui.
Je me détends petit à petit. C’est là que j’entends la porte d’entrée claquée ! Je sursaute, concentrée sur le son de ses pas qui se rapprochent. Mon cœur s’emballe lorsque je l’entends s’arrêter devant moi, je tremble et bloque ma respiration. Il fait le tour de ma personne, lentement, s’arrête à nouveau. Je sens qu’il saisit le mot..Quelques secondes s’écoulent avant qu’il ne brise enfin le silence : « Position 6. ». J’obéis instantanément et grimace en prenant position, cela faisait un moment que j’étais immobile.
Je fixe le sol, attendant la suite : « Regarde-moi, je veux que tu me le dises en me regardant dans les yeux. ». Je relève timidement la tête pour enfin croiser son regard : il semble bien dans son rôle, mais je perçois dans ses yeux une certaine émotion : de l’Amour ? Oui, de la surprise ? Peut-être, j’ai du mal à décrypter.
Je ne m’attendais pas à cette demande, je bredouille : « J’ai..j’aimerai », puis je m’arrête ce n’est pas si facile à demander, je me sens si fragile et à sa merci face à lui. Je rougis mal à l’aise et baisse les yeux. Erreur ! Il m’attrape par les cheveux et relève ma tête. Le ton change, tout comme le regard, beaucoup trop calme il dit: « Je t’ai demandé de me regarder et de me répéter ta demande. ».
J’halète, c’est le moment je ferme les yeux, plonge à la recherche de ce sentiment qui m’anime depuis des semaines, le laisse m’envahir, me submerger. Une fois que je le sais et le sens ancrer en moi, je rouvre les yeux et plante mon regard dans le sien : « J’aimerai souffrir pour vous, Monsieur… », tout en joignant le geste de lui tendre le fouet offert :
« S’il vous plaît. »
Le temps semble à nouveau en suspens, puis il desserre sa prise de mes cheveux et m’embrasse le front : « Bravo, je suis fier de toi, je sais l’effort que sont pour toi ces petites épreuves orales. Quant à ta demande…tu m’offres un très beau cadeau, si joliment présentée que je ne peux le refuser. Merci de ta confiance. ».
A ce moment, mes yeux commencent à briller. Je suis tellement contente qu’il soit fière de moi et soulager que mon cadeau lui plaise que je sens mon désir de me soumettre à lui exploser. Une vague de joie et d’amour me submerge et des larmes de joie se mettent à couler. C’est naturellement que je prends la position 3, embrassant avec légèreté son pied. Je n’ai pas l’habitude d’être démonstrative en ce sens. Je me redresse et lui souris : « Merci Monsieur. ». Il semble agréablement surpris par mon geste, me rend mon sourire en me répondant sadiquement : « Tu pleures déjà ? Je n’ai pourtant pas encore commencé, gardes en pour tout à l’heure…Je veux aussi tes larmes de douleur. ». Je grimace avant de sourire à nouveau, cette petite phrase, il le sait est un doux mélange de sensations contradictoires qui vient chatouiller mon bas ventre.
Il récupère le fouet que je tiens toujours sur mes paumes ouvertes : « Debout les mains derrière la tête ! », je me lève et me tient droite attendant ses instructions. Il s’amuse, me frôle, me caresse attisant mon désir et paradoxalement mon envie de souffrir. Je gémis.
« Je vois que tu t’es attachée seule, j’apprécie le geste. » dit-il en passant ses doigts le long de ma colonne pour remonter enserrer mon cou, pendant que l’autre main vient titiller un téton qui ne tarde pas à s’ériger.
Il me fait chanter comme ça quelques instant, avant de me laisser là, dans l’attente de plus et se place devant moi : « Alors comme ça tu veux souffrir pour moi avec Ça ? Tu te souviens de ta dernière séance avec ce dogwhip n’est-ce pas ? »
«-Oui, Monsieur..Je m’en souviens très bien, je pourrai difficilement l’oublier.. » dis-je frissonnante
«-Et tu veux quand même que ce soit lui que j’utilise ? »
J’inspire un grand coup avant de répondre : « -Oui, Monsieur c’est justement pour ça que je l’ai choisis. »
« -Très bien. Dans ce cas je vais exaucer ta demande. Tu vas souffrir. » Je me crispe un peu jusqu’à ce qu’il dise : « Montre-moi ma belle jusqu’où tu es prête à souffrir pour moi. ». Cette dernière phrase libère ma conscience, je le regarde et m’offre sans conditions, tendant les reins en arrière, dégageant l’accès à ma poitrine dans un sourire rayonnant.
Il veut y aller progressivement pour que ce moment dure le plus longtemps possible, il me préchauffe donc avec les martinets. Il danse autour de moi, ses mains guidant les lanières en de belles arabesques tantôt cinglantes, tantôt caressantes. Chaque partie de mon corps est minutieusement fouettée, je sens cette douce chaleur m’envahir, jusqu’à ce qu’un coup plus cinglant que les autres me sorte de ma bulle.
Il change de rythme, les coups sont beaucoup plus forts et me percutent, je croise son regard : lui provocateur avec une pointe de sadisme, moi fière, heureuse et déterminée à le satisfaire.
Je lui fais signe que je suis prête à lui donner plus. Les coups se mettent alors à pleuvoir m’arrachant soupirs et quelque hoquet de surprise.
Il change d’instrument et prend les fouets, pas LE fouet. Je le regarde, interrogative : « JE choisis, comment tu dois souffrir pour moi. » répond-t-il à ma question muette. J’acquiesce un peu déçue, mais qu’importe le moyen tant que je peux m’offrir à lui. Les fouets me caressent, étrange sensation de douceur après le choc des lanières des martinets.
Je ferme les yeux, je n’en ai pas besoin pour le voir. Les caressent se font plus cinglantes. Les crackers traces de longues et fines lignes de feu sur mon corps. Je râle de plaisir et de douleur, il augmente le rythme et la puissance puis s’arrête en pleine ascension.
Je rouvre les yeux au moment où je sens la douleur à mes tétons. Ce sont des pinces japonaises équipées de petits poids. Il me regarde avec un grand sourire aux lèvres en s’amusant à tirer dessus plus ou moins fort. Je grince des dents, gesticule, il tire plus fort je pousse un hoquet de douleur: « Regarde-moi. ». Je le regarde faire, il m’embrasse en continuant de malmener mes tétons. Mord mon cou, je ne sais plus où j’en suis : est-ce que j’ai mal, ou est-ce bon ? Impossible de le dire.
Il s’arrête, reprend la fouettée, je suis tellement bien. Et puis il les fait claquer dans l’air, dans un ballet successif de claquements plus stimulants les uns que les autres, je gémis comme en réponse à leurs appels.
Je le suis du regard, il a posé ses fouets. Il me regarde, prend le dogwhip. Je frissonne instantanément, il s’approche lentement sans me quitter du regard en déroulant le fouet. Ma respiration devient haletante, mes lèvres deviennent sèchent…
Il l'étend devant mes yeux, le fait rouler sur mes seins, glisser autour de mon cou en resserrant l’étreinte, m’attirant contre lui en me coupant brièvement la respiration par intermittence. Je pose quelque seconde ma tête contre lui, écoutant son cœur battre : c’est un fait, il a pris totalement le contrôle.
Il approche le fouet de ma bouche. Je le prends délicatement entre mes dents, je ne peux m’empêcher de trembler à son contact, mais je ne sais plus si c’est de désir ou d’appréhension. Les papillons s’agitent avec force, c’est le moment qu’il choisit pour me retirer les pinces. La douleur est toujours aussi surprenante, ma bouche s’ouvre pour former un O.
J’ai lâché le fouet..
Il me regarde, un sourire en coin : «- Et bien, c’est comme ça que tu traites les instruments qui prennent soin de toi ? Tu sais ce que cela mérite n’est-ce pas ?»
Je comprends qu’il est mi- sérieux mi-joueur, le S***** il l’a fait exprès, je grogne :
« -Excusez-moi Monsieur, j’ai été surprise. Hum…quelques marques j’imagine. »
« -Tu ne vas pas tarder à ne plus imaginer. Retourne-toi et cambre-toi ! »
A peine en place, les deux coups tombent l’un après l’autre dans un claquement sec : Aaaaaaaaaaaah ça brûle ! Comme-ci il avait lu dans mes pensées, il répond : « Et ce n’est que le début, remets toi en place, on va réellement commencer. »
Il commence doucement en enroulé, mais les coups ne tardent pas à s’accentuer. Je suis prête, tout le travail de préparation à payer, je sens que je pourrai lui offrir beaucoup cette fois-là. La vipère s’enroule inlassablement, tantôt autour de mes reins, puis mon ventre en passant par mes seins, descendant même jusqu’à mes jambes ce qui provoque à chaque fois une petite danse un peu ridicule de ma part, mais certainement très plaisante à voir. .
Je sens montée la pression, la vitesse des coups augmente et là : Slack ! Slack ! De nouvelles marques doivent se dessiner sur mon corps. Il joue, augmente le nombre de coups cinglants à la suite, marquent des pauses, varient les plaisirs. Lorsque je m’attends à plusieurs coups puissants, il n’y en a qu’un et inversement. Il est en train de me rendre folle !
Impossible de rester inexpressive sous ce fouet, on s’arrête régulièrement car je quitte la position, la douleur me coupe le souffle pendant plusieurs secondes avant qu’un long râle de douleur ne puisse enfin sortir. Il m’accompagne dans mon abandon, me caresse pendant ces temps pour atténuer un instant la morsure du fouet, allumant un tout autre feu. Mais toujours, il me remet en position.
Là, je suis à lui... C’est ce qui me permet de tenir : mon esprit s’abandonne complètement et totalement à lui, s’accordant à ses désirs.
La douleur est si intense, elle est à retardement je ne sens rien, puis d'un coup elle explose. Je ne résiste pas longtemps aux larmes, je pleure, mais je continue. Elles coulent maintenant sans discontinuer accompagnant chaque nouveau coup de fouet et exclamations de douleur plus ou moins appropriées. Je perds toute contenance quand la douleur est trop forte, mais il reste inflexible et moi je continue de lui faire confiance. Je sais qu’il n’ira pas trop loin, il joue avec ma limite et c’est terriblement grisant.
Les coups deviennent de plus en plus forts, le suivant me met à genoux. Je pleure, il vient me caresser avec douceur : « Debout ». J’ai tellement mal, mais c’est pour lui. Chaque coup est un cadeau que j’accepte, je ne saurai réussir à décrire complètement cette sensation qui monte en puissance pendant la séance, c’est indéfinissable.
Je ne sais pas où je trouve la force de me relever il m’aide. Je m’offre à nouveau à ses coups, me plie en deux de douleur, mais reviens toujours en position m’abandonnant dans la douleur qu’il m’inflige.
Le coup suivant atteint mon sein, je ne résiste plus et tombe à nouveau à genoux, je n’ai plus la force de me relever, mais je veux lui donner plus. Entre deux sanglots j’arrive à articuler : « Encore s’il vous plaît Monsieur. ». Je sais qu’on peut aller plus loin et lui aussi. Il m’embrasse : « Tu es Magnifique. Offres toi. » On eut dit une formule magique, apaisant la douleur : « Oui Monsieur. ».
Je me prosterne détendue, il marche sur mes mains et reprend la fouettée dans cette position, je me cambre, mais de plaisir cette fois. Je perds pied lentement, mais inexorablement. Il continue quelques minutes dans cette position. Quel bonheur, je navigue dans les brumes obscures du SM.
Puis je le sens qui attache quelque chose à mes bracelets. Mes bras liés sont tirés vers le haut, je me retrouve à nouveau debout. Il attache une cheville et l’étire pour que j’ai les jambes écartées et fait de même avec l’autre. Je suis complètement à sa merci, je ne peux plus bouger quel que soit l’intensité des coups à venir...
Je le regarde se mettre à distance, je tremble je sens qu’on approche du point de non-retour et il me le confirme : « Passons au bouquet final. ». J’ai peur, mais cette peur est si douce, je suis pieds et poings liés. Le premier coup qui arrive m’annonce que les sensations sont décuplées par la contrainte. Je n’ai aucun moyens de lui échapper et j’aime terriblement ça ! Toutes mes tentatives resteront veines pour atténuer la morsure. Implacable les deux langues de vipères me marquent, j’ai peur et en même temps c’est terriblement bon d’avoir peur. Je monte dans les tours, sentant son but, notre but. Les coups s’accentuent à nouveau, prennent en vitesse, je ne peux m’empêcher de dire « Non ! Oui ! Encore, oui encore. ».
Et là, c’est l’explosion une salve de coups s’abat, je m’offre à eux car je les sais être les derniers. Le fouet claque marquant mon corps de toute part de ses deux mèches, du V de la victoire. Victoire du fouet sur la chair, mais aussi du plaisir de la soumission sur la douleur, victoire du dominant sur les limites et victoire de la soumise sur elle-même.
Il s’arrête, je pense l’épreuve finit quand un dernier coup puissant arrive lacérant mes deux fesses, ma jouissance explose, mon cri déchire le silence : « Ouiiiiiiiiiiii. ». Tout mon corps se relâche d’un coup dans mes liens et la seule chose que j’arrive encore à dire c’est « Merci… ». Je suis vidée, je tremble, pleure, mais je suis apaisée. Je n’ai plus aucune sensation de douleur, car mon corps ne m’appartient plus… Ω
Shaé Imala
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